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La jalousie, ça vient de où ?

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Le néant n’est pas la cause de votre jalousie; soyez s’en sûrs. Non, si vous ressentez de la jalousie, c’est nécessairement parce que vous êtes trop possessif envers vos biens. Mais face à cela, que pouvons-nous faire pour ne pas vivre ce sentiment désagréable qui nous pousse à l’irrationalité ? C’est ce que nous verrons dans les prochaines lignes.

Si une chose vous appartient, c’est que vous pouvez en faire ce que vous voulez. Si une chose ne vous appartient pas, vous ne pouvez sûrement pas en faire ce que vous voulez. Mais qu’arrive-t-il si nous croyons qu’une chose nous appartient quand ce n’est pas le cas ? Il est possible que nous essayions de manipuler la chose à notre guise en nous rendant compte que cette dernière ne nous répond pas comme elle est censée le faire en tant que chose nous appartenant. Avez-vous déjà essayés de contrôler quelque chose qui n’est pas à vous ? Eh bien, le vrai propriétaire de la chose risque de ne pas aimer votre attitude et le fait que vous essayer de faire vôtre ce qui ne l’est pas. Ainsi, si nous nous trompons sur notre droit de propriété absolu sur une chose, il est possible que nous en vivions une déception ou une frustration, car la chose en question ne réagira pas comme elle est censée le faire dans notre imaginaire. Mais est-ce la faute de la chose que nous croyions posséder ou est-ce notre faute pour avoir mal évalués notre droit de possession envers une chose ?

En effet, la jalousie est un sentiment qui provient de notre volonté d’avoir un contrôle absolu sur quelque chose dont nous avons aucun contrôle. Vouloir qu’une personne nous reste fidèle sans avoir le contrôle absolu sur les actions et les pensées de cette personne peut être la raison pour laquelle nous vivons de la jalousie. Pourquoi viverions-nous de la jalousie si nous croyons réellement que notre partenaire ne nous appartient pas et qu’il est libre d’agir comme il le veut ? Si nous vivons de la jalousie, c’est que nous voulons qu’une chose qui est en dehors de notre volonté soit en son intérieur. Il est normal de vivre de la frustration lorsque nous ne savons pas comment bien catégoriser ce qui appartient à notre volonté et ce qui ne lui appartient pas. La jalousie amoureuse, c’est de la peur; la peur de perdre quelque chose qui ne nous appartient pas en réalité. Comment pouvons-nous perdre quelque chose qui ne nous a jamais réellement appartenu d’une manière absolue ? Ainsi, nous devons comprendre que la jalousie est un sentiment qui prouve notre incapacité à comprendre que notre partenaire appartient à la catégorie des choses qui ne nous appartient pas. Si nous avons bien comprit cela, il n’y a aucune raison pour vivre de la jalousie, car il n’est pas frustrant de perdre quelque chose que nous considérons qui ne nous appartient pas. Le partenaire amoureux doit toujours être considéré comme un emprunt à la nature : cette personne nous appartient jusqu’à temps que le délai d’emprunt se termine.

Dans cette optique, est-ce qu’il y a réellement quelque chose qui nous appartient pour toujours ? Ne devrions-nous pas considérer nos biens comme des emprunts et non comme des choses nous étant liées par nature et pour toujours ? Donnez-nous votre avis dans les commentaires !

Contrecarrer la déception

C’est vrai qu’il arrive plus souvent qu’autrement que nos projets tombent à l’eau et que nous en vivions de la déception. Sans compter que, la plupart du temps, nous avons besoin de l’aide des autres pour accomplir nos désirs. Vu le fait que nous n’avons pas le contrôle de la volonté des autres, nous sommes contraints d’encaisser les décisions de notre entourage sans qu’on puisse y faire quoi que ce soit. Ainsi, notre environnement à un excès de contrôle sur nos vies qui va au-delà de ce que nous aimerions lui accorder. Ainsi, si une personne quelconque décide de nous mettre des bâtons dans les roues, nous en sommes perdant et nous devons faire face à une déception; une déception qui est le résultat de l’action de l’autre. Mais, est-ce vraiment le cas? Est-ce que notre déception vient réellement des choix des autres? Et si, dans cet article, nous apprenions rapidement que nos sentiments négatifs ne sont que le résultat de notre propre jugement? Si c’est le cas, nous retrouverons un peu le contrôle de nos vies, puisque nous aurons ainsi le pouvoir absolu de vivre ou de ne pas vivre ces émotions que nous préférerons ne jamais rencontrer. Vérifions ce que nous pouvons faire pour arrêter l’hémorragie d’émotions négatives.

  • Si un individu agit mal à notre égard, nous pouvons nous dire ce qui suit : si j’aurais agit d’une certaine manière envers cette personne au lieu d’agir comme je l’ai fait, est-ce que cette dernière aurait agit différemment avec moi? Ce que nous voulons dire, c’est qu’il est possible que les mauvais agissements de notre entourage proviennent des jugements qu’il porte sur nous (un jugement qui est le produit de notre propre action envers lui). Il est possible, qu’en agissant autrement, notre entourage nous juge différemment et commence à agir en conséquence. Cela signifie que d’une certaine façon, nous avons le contrôle sur les actions des autres, puisque nous pouvons contrôler leurs jugements par le biais des actions que nous choisissons de faire. Agir autrement, c’est changer l’opinion des autres; et changer leurs opinions, c’est aussi changer les actions qu’ils commettent envers nous.
  • Dans une certaine situation qui s’est montrée désagréable, nous pouvons nous dire la chose suivante : quelle est la partie de cette situation qui est la conséquence de mes propres actions? Si nous sommes honnêtes envers nous-mêmes, nous verrons qu’il est toujours possible (sans exception) de considérer que nous avons joué un certain rôle dans ce qui s’est produit (même si ce rôle est minime). Il ne faut pas seulement évaluer nos actions présentes pour vérifier si nous avons joué un rôle dans la situation, mais il faut aussi valider si nos actions passées ont eu un quelconque rôle dans ce qui s’est produit. Si nous analysons la situation comme cela, il y a toutes les chances possibles que nous mettions le doigt sur notre part de responsabilités. Ainsi, si nous sommes capables de mettre la faute sur nous-mêmes et non sur les autres, nous pourrons reprendre du pouvoir sur nos vies, puisqu’il est possible de changer ses actions contrairement à celles des autres.
  • Il y a des critères pour chaque petit élément de la vie sociale. Par exemple, pour être embauché pour un certain poste, nous devons posséder certaines caractéristiques. Pour se mettre en couple avec telle personne, nous devons remplir les critères de sélection que cette personne possède. Pour convaincre une personne de faire telle action, nous devons nous assurer que cette personne laisse tomber chaque éléments qui faisaient en sorte qu’elle n’était pas convaincue. Pour se faire juger d’une certaine manière, nous devons nous assurer que chaque critère pour se faire juger ainsi soit respecté. Je crois que vous commencez à comprendre le principe. Si le monde social fonctionne réellement par critères de sélection face à pas mal tout ce qui existe, il faut se rendre à l’évidence que si nous ne réussissons pas à faire ce que nous voulons, c’est que nous ne remplissons pas les critères de sélection adéquats. Au lieu de mettre la faute sur les autres, nous devrions plutôt analyser les éléments que nous ne possédons pas et qui font en sorte que nous avons échoué dans notre projet. Une fois l’analyse effectuée, il ne reste plus qu’à tenter de répondre à chaque critère et à réessayer de nouveau.

Il semble qu’il sera toujours possible de trouver le cheminement mental qui mettra la faute sur notre personne plutôt que sur celle des autres. Pourquoi est-ce avantageux de mettre la faute sur nous plutôt que sur les autres? Parce que nous possédons la possibilité de changer nos actions, mais ne possédons pas la possibilité de changer les actions d’autrui. Pourquoi être déçu, triste ou en colère s’il est possible de changer le cours des choses et de voir en quoi est-ce que ce qui s’est produit est de notre faute plutôt que celle d’une autre personne? Nous vivons des sentiments négatifs lorsque nous croyons que nous avons vécu une injustice ou que nous ne pouvons rien faire d’autre que de subir notre sort. Mais, si nous y réfléchissons bien, nous pouvons toujours considérer que nous avons un rôle à jouer dans ce qui nous arrive, alors pourquoi se laisser abattre par de mauvaises émotions si nous avons le contrôle de nos vies et de notre pouvoir d’action?

L’amour au coin de la rue

Vous croyez que l’amour est un sentiment spécial qui ne peut que se produire avec une personne particulière et avec personne d’autre? Si votre réponse est oui, alors cet article n’est pas pour vous. En effet, nous croyons, en adoptant une certaine posture sociologique, que l’amour peut se retrouver avec plusieurs personnes en autant que certaines caractéristiques soient respectées. N’allez pas croire que nous sommes remplis de préjugés et que nous croyons que l’amour n’est pas un sentiment particulier! Au contraire, nous voulons simplement généraliser les points essentiels à retrouver (consciemment ou inconsciemment) lorsque nous recherchons à aimer une personne. Il y aura toujours des exceptions à certaines règles, mais nous croyons fortement qu’en général, ces points représentent nos critères à tous dans la création de sentiments amoureux. Passons ces points un à un.

  • Le statut économique de la personne y est pour quelque chose. En effet, il semble que les gens se mettent en couple avec des individus qui gagne ou qui gagneront à peu près le même salaire qu’eux. Pourquoi me direz-vous? La réponse à cette question est trop complexe et longue pour être expliquée ici. Mentionnons seulement que, dans un couple, la question de l’argent cause souvent problème, mais lorsque les deux amoureux gagnent à peu près le même salaire, il semble plus facile de gérer la question monétaire.
  • La beauté est évidemment un critère de sélection assez connu de tous. Encore une fois, si nous analysons les relations amoureuses qui nous entourent, nous verrons que les gens se mettent en couple avec des individus de même statut de beauté qu’eux. La beauté étant un objet de plaisance et de satisfaction de tout genre, nous sommes tous davantage attirés par ceux qui se présente bien que le contraire. C’est sans doute pourquoi il arrive plus souvent qu’autrement que nous ne pouvons nous mettre en couple avec une personne qui nous surpasse en termes de beauté. L’apparence physique est toujours une question de normes sociales, de sociétés et d’époques, mais cela ne change rien au fait que ces critères existent bel et bien pour nous, et nous sommes contraints d’y faire face. Bien sûr, encore une fois, nous ne disons pas que cela est toujours le cas, mais simplement que ce principe s’avère souvent applicable à notre réalité amoureuse. Ne soyons pas sur la défensive si nous croyons que ce principe nous désavantage, car il y a toujours moyen de contourner les normes !
  • Il est difficile de s’entretenir avec une personne qui comprend difficilement nos propos et qui nous limite dans nos choix de sujets. Nous ressentons du désagrément lorsque nous sommes contraints de trier nos choix de discussion, et c’est sans doute la raison pour laquelle nous nous mettons en couple avec des gens possédant le même genre de savoir que le nôtre. Notre banque de connaissances influence donc notre horizon dans le domaine amoureux. Plus nous connaissons de choses, plus nous risquons d’avoir de la facilité à prendre contact avec l’autre et d’éveiller son intérêt. Ainsi, nous recherchons des personnes possédant certaines informations pour nous assurer de pouvoir prendre contact avec elles. Pourquoi? Parce que le savoir d’une personne est le signe d’un intérêt de cette personne face au savoir qu’elle possède. Si nous possédons le même bagage d’informations qu’une personne, c’est peut-être parce que nous possédons les mêmes intérêts.
  • Nous nous imaginons tous réaliser certains projets avant notre mort : nous avons des projets en tête qui doivent se réaliser sans quoi nous risquons d’être déçus de notre incapacité à réaliser ce que nous avions comme projets de vie. Que se passe-t-il si notre être cher possède des projets incompatibles avec les nôtres ? Il nous arrive de nous mettre en couple pour réaliser après coup que nos visions sont incompatibles avec notre nouveau partenaire de vie. Ainsi, nous recherchons toujours des individus qui possèdent la même vision de l’avenir que nous. Avant de se mettre en couple avec une personne, nous évaluons tous si cette personne pourra remplir nos désirs et contribuer à nos projets de vie.
  • La présence physique contribue considérablement à nous faire tomber amoureux. Plus nous sommes en présence d’une personne et la côtoyons, plus nous risquons de développer des intérêts communs et de tomber amoureux.  Les lieux dans lesquels nous décidons de passer la majorité de notre temps détermineront le type de personnes que nous allons rencontrer. Puisque nous sommes libre de décider des endroit où nous allons passer notre temps, il faut se rendre à l’évidence que nous décidons indirectement des personnes avec lesquelles nous tombons amoureux. Qu’arrive-t-il lorsque nous ne sommes plus en contact avec notre partenaire amoureux? La relation devient difficile et le sentiment amoureux s’effrite. Ainsi, nous recherchons des individus qui risquent de se retrouver dans les même lieux physique que nous pour les années à venir. Sommes-nous enclins à tomber amoureux de personne qui vont prochainement se retrouver loin de nous? Il semble que nous préférons trouver un partenaire de vie qui se tiendra dans le même type de lieux que nous, car cela facilite la relation.

Plus nous retrouvons ces points chez une personne, plus le sentiment amoureux fait son apparition. Nous croyons que l’amour peut se retrouve avec plusieurs individus pour la simple raison qu’il est possible de trouver tous ces critères chez plus d’une personne. Vous n’êtes pas d’accord ou vous voudriez ajouter quelque chose à nos propos? N’hésitez pas à écrire un commentaire!

Agrandir son cercle social

Pourquoi voudriez-vous agrandir votre cercle social me direz-vous? Simplement pour le fait que, si nous y réfléchissons bien, la plupart de nos actions sont liées à celles des autres (ce qui fait que la nature de notre entourage influence grandement l’effectivité de nos actions). Tout le monde sait qu’il est plus facile de réaliser quelque chose avec de l’aide qu’en étant seul (dans la majorité des cas). Ainsi, pourquoi voudrions-nous nous limiter en termes de contacts socials? Il semble qu’il sera toujours plus facile pour quelqu’un de remplir ses désirs et de finaliser ses projets en ayant un entourage en santé que le contraire. Pour cette raison, nous devons nous pencher sur les éléments jouant sur notre capacité à intégrer de nouvelles personnes dans notre réseau. Voici ce que nous conseillons de faire :

  • Pour faire de l’argent, il faut de l’argent. Le principe est sensiblement le même en ce qui concerne le monde de l’amitié : il est beaucoup plus facile de rentrer en contact avec de nouvelles personnes, lorsque nous avons déjà beaucoup d’amis. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce qu’en présence d’amis, nous dégageons déjà la crédibilité sociale nécessaire à l’accueil de nouveaux contacts. Si nous sommes déjà en présence d’individus, c’est que devons surement avoir certaines qualités nous permettant de socialiser d’une bonne façon. Si nous serions de mauvais interlocuteurs,  nous serions probablement seuls. Ainsi, en étant en présence d’autres personnes, il est plus facile d’aborder une nouvelle personne, car la présence des autres nous donne de la confiance et nous accorde la crédibilité sociale nécessaire pour que la personne approchée ne nous juge pas négativement par l’entremise de notre solitude (qui est un signe comme quoi nous pourrions peut-être agir bizzarement ou posséder certains défauts de caractère non désirables). Pour cette raison, la prsence des autres nous aide à prendre contact plus facilement avec des individus. De plus, c’est en faisant des sorties entre amis, que nous avons le plus de chances d’agrandir notre cercle social, car le contact avec une nouvelle personne nécessite un contexte social qui vient encadrer le contact et lui donner sens.
  • Ce n’est pas n’importe quelle façon d’agir qui attire la présence des autres. En agissant agréablement, en ayant toujours le sourire, en ayant des humeurs stables, en agissant avec humour et en démontrant une certaine vitalité générale, nous attirerons la présence des autres plus facilement qu’avec les agissements contraires. Essayez d’adopter un comportement ouvert et non fermé.
  • En prenant l’habitude (qui n’est pas facile à acquérir) de saluer les autres et leur demander leur état d’esprit de la journée, il y a de fortes chances que ces personnes prennent plaisir à notre présence. Un simple bonjour peut faire toute la différence. Cependant, il faudra répéter l’exercice encore et encore avant de voir des résultats. La salutation agit à titre d’outil de création de relations. La salutation étant acceptée socialement (car banale), peut s’avérer être l’élément adéquat pour prendre facilement contact avec une personne, car un salutation répétée dans le temps peut se transformer en la création d’une relation.
  • Il faut parfois mettre ses désirs et ses intérêts de côté pour se faire apprécier des autres. Apprenez à discuter de sujets qui intéressent les autres et non de sujets qui n’intéressent que vous. En montrant de l’intérêt pour ce qui n’est pas vous, vous démontrerez une certaine moralité sociale par votre capacité à vous orienter vers l’autre et non vers vous-mêmes. Les gens sentent lorsqu’une personne ne s’intéresse pas à eux et à ce qui leur sont lié.
  • Il ne faut pas trop être aux petits soins des autres comme il ne faut faut pas trop être sensible qu’à nous-mêmes. Il faut trouver la juste mesure entre l’ouverture face à l’autre et le renfermement sur soi. Quel est l’avantage de se renfermer sur soi? Cela démontre que vous avez une personnalité bien à vous et que vous n’avez pas besoin des autres pour vivre. Quel est l’avantage d’aider les autres? Cela est agréable de sentir qu’une personne s’intéresse à nous et désir nous aider, et c’est pourquoi nous avons tendance à aimer celui qui se dévoile être cette personne.
  • N’ayez pas peur d’utiliser les différentes sources où trouver des contacts. Que ce soit en personne ou virtuellement, il n’y a pas de mauvaises façons pour prendre contact avec les autres. Agrandissez votre horizon de recherche et vous trouverez plus facilement ce que vous recherchez. À l’époque où nous sommes, il n’y a plus de gêne pour agrandir son cercle social via le web. Alors pourquoi ne pas utiliser les applications et les sites qui nous aident dans cette direction?
  • Ne soyez pas celui qui n’invite jamais les autres et qui attend de se faire inviter. Soyez proactif en organisant vous-mêmes des soirées et des activités. En faisant cela, vous serez catégorisé comme une personne agréable par les autres (en autant que vos activités se déroulent bien). Soyez un bon vivant et dévoilez vous aux autres comme celui qui possède la joie de vivre et qui peut la transmettre aux autres. Votre entourage ne veut pas sortir? Insisté convenablement et trouvez les techniques adéquates pour vous assurer de les faire sortir de leur trou. Il ne sera pas possible pour vous de rencontrer des individus si vous ne vous gardez pas actif socialement.

Persuader sans argumenter : la crédibilité sociale

Vous pensiez réellement qu’il n’est possible de changer l’opinion d’une personne qu’avec l’aide d’arguments ? Eh bien, vous vous êtes trompés ! La force de vos arguments n’est qu’un élément parmi tant d’autres pour persuader autrui. S’il y a un élément plus puissant que les autres pour se faire entendre, c’est bel et bien la crédibilité sociale. En effet, quoi de plus persuasif qu’une belle apparence physique ou une apparence physique qui se marie bien avec ce que nous tentons de persuader ? Il est plus facile de persuader sur un problème mathématique si nous possédons le look du mathématicien (oui, oui, cela existe). Mais notre apparence n’est pas la seule partie de la crédibilité sociale; il y a aussi l’expertise ! Qu’est-ce que l’expertise ? C’est la confiance que portent les autres sur la possibilité que ce que nous disons et faisons soit juste. En termes de probabilités, quelles sont les chances que telle personne s’avère avoir raison sur telle question ? Encore une fois, il y a plus de chances que nous ayons raison sur un problème mathématique, si nous avons fait des études en mathématiques. L’autre se dira : sa crédibilité sur la question est plus grande que la mienne, alors peut-être que j’ai tort. Peu importe la force de vos arguments, si vous possédez l’image adéquate face à la question qui pose problème, il y a beaucoup plus de chances d’atteindre l’adhésion de votre adversaire. Ainsi, si vous savez que vous possédez l’autorité adéquate face au problème, n’hésitez pas à la mettre en évidence. De l’autre côté, si vous ne possédez pas l’autorité nécessaire, essayez de camoufler le manque d’expérience que vous avez en mettant l’emphase sur les arguments plutôt que sur votre expertise et sur votre image.

Pourquoi est-ce si difficile d’entretenir nos relations sociales à travers le temps?

C’est une chose de se trouver de nouveaux amis, mais s’en est une autre de les garder pour la vie. Quelles erreurs faisons nous et qui font en sorte que nous perdons la trace de ceux que nous avons appréciés à une certaine époque? Énumérons ces différentes raisons possibles pour être plus en mesure de mettre le doigt sur les erreurs que nous commettons.

  • Tout le monde possède des défauts de caractère qui irritent son entourage. Nous faisons une erreur lorsque nous nous plaignons des défauts de nos amis à d’autres individus pour la raison suivante : il est possible que notre plainte se rende aux oreilles de notre ami (ce qui fera en sorte de nous faire paraître comme un traître). Plus en plus nous nous plaignons de notre entourage, plus en plus nous risquons nos relations. N’est-ce pas irritant lorsque nous recevons l’information comme quoi un de nos amis à parlé en mal de nous d’une quelconque façon?
  • En amitié, il faut diminuer le nombre de reproches que nous faisons. Si nous faisons un reproche à un ami, il faut s’assurer de le faire de la bonne manière en jetant le moins de négativité possible dans notre discours. Il faut se montrer courtois et protéger l’estime de ceux que l’on aime. Si nous sommes trop direct, nous risquons de fâcher l’autre et de nous faire juger comme des mauvais interlocuteurs. À la longue, il est possible que certaines personnes se tannent de notre présence pour cette seule raison.
  • Évidemment, l’une des raisons les plus courantes de perde de vue des proches est d’avoir des visions distinctes de la vie ou des désirs différents à accomplir. Plus nos désirs ne sont pas compatibles avec ceux des autres, plus nous risquons de développer des projets de vie qui nous mèneront dans des directions opposées face à notre entourage. Ainsi, plus nos amis nous ressemblent, ont le même style de vie que nous et possèdent le même genre de projets, plus nous avons de chances de les garder dans nos vies. Développer des amitiés avec des individus complètement différents de nous, c’est aussi développer des relations sociales qui risquent de s’effriter dans le temps.
  • Parfois, c’est une question de manque de loyauté qui nous pousse à laisser tomber nos relations. Il faut savoir faire des efforts pour entretenir nos relations sociales, et il faut continuer à le faire même lorsque nous faisons de nouvelles rencontres. Ce n’est pas parce que nos plus vielles relations sont moins attirantes que les nouvelles, qu’il faut les laisser tomber, parce que cette façon de faire risque de nous diriger dans un gouffre de solitude.
  • Si notre entourage parle en mal de nous, il ne faut pas faire le saut et s’acharner sur ceux qui nous font des reproches. Essayons de ne pas développer de haine pour ceux qui parle en mal de nous, mais essayons de nous corriger pour adapter notre comportement à leurs jugements. Il sera difficile de faire ainsi, car nous devons lâcher prise sur notre ego pour mettre à l’avant-scène notre capacité à nous transformer jour après jour vers le meilleur. Essayons d’écouter les reproches faites à notre égard pour entretenir nos relations, mais ne nous servons pas de ces reproches pour notre irriter et laisser tomber nos amis.

Pourquoi n’êtes-vous pas capables d’obtenir une promotion?

Vous faites les efforts nécessaires et vous ne réussissez quand même pas à vous faire prendre en considération pour un certain poste? Quelle peut être la raison de cela? Énumérons les différentes raisons possibles pour vous donner les outils nécessaires à votre propre évaluation professionnelle :

  • Vos patrons considèrent que votre image (corporelle) ne représente pas comme il se doit le poste que vous voudriez représenter. Chaque poste nécessite une certaine image sociale. Le monde social fonctionne par stéréotypes et il faut savoir les comprendre pour connaître sa place et ses possibilités.
  • Vos patrons croient que vous ne possédez pas les qualités requises pour bien accomplir les tâches reliées au rôle que vous chérissez.
  • Vous avez dit ou avez fait certaines choses qui ont atteint votre crédibilité sociale. Lorsqu’un supérieur pense à nous pour une promotion, il prend en considération l’ensemble de notre parcours, mais encore plus important, il prend en considération notre crédibilité sociale pour incarner le rôle en question. Ainsi, il se peut que nos actions passées soient la raison pour laquelle nous ne pourrons jamais obtenir un certain rôle social.
  • Un poste disponible pour vous est aussi un poste qui est disponible pour autrui. Peut-être que vous êtes compétents, mais il se peut qu’il y ait des individus encore plus compétents avec lesquels vous êtes en compétition. Ce n’est peut-être pas vous qui êtes mauvais, c’est peut-être les autres qui sont trop bons. Le monde du travail est une compétition, et il faut savoir se montrer meilleur que les autres si nous voulons monter dans la hiérarchie.
  • Il se peut que les liens entre certains individus vous empêchent d’obtenir la promotion que vous désirez. Si votre patron est le meilleur ami d’un de vos collègues qui ne vous apprécie guère, il se peut que, pour cette simple raison, vous n’obtiendrez jamais le poste désiré. Évaluez les liens sociaux à l’intérieur de votre entreprise pour déterminer lesquels pourraient vous nuire. Il faut savoir qui doit nous détester et qui doit nous apprécier aux yeux de nos supérieurs pour évaluer quels liens sociaux sont avantageux d’entretenir.
  • Le moment où vous êtes rentrés dans l’entreprise est important pour le jugement que les autres portent sur vous. En effet, il y a toujours un certain temps d’apprentissage avant de se familiariser avec un emploi. Ainsi, dans nos débuts, nous ne sommes pas à notre meilleur. Dans ce cas, si vos supérieurs vous ont vu lors de votre période d’apprentissage, il se peut qu’ils aient une moins bonne opinion de vous que s’ils n’ont jamais eu la possibilité de vous voir durant cette période. Si vous êtes rentrés dans l’entreprise avant vos patrons, alors ces derniers risquent d’avoir obtenu une meilleure première impression de vous que si le contraire se serait produit.

Pourquoi nous chicanons-nous au travail?

Est-ce nous qui ne savons pas comment vivre avec l’autre ou est-ce que le problème est plus profond que cela ? La réponse à cette question risque de vous rassurer : ce n’est pas nécessairement vous le problème (bien que se puisse être le cas), mais c’est la logique même du contexte de travail qui cause problème ! Réfléchissons un petit instant. À l’intérieur de l’entreprise, vous possédez un rôle qui vient avec certaines responsabilités. On s’attend de vous à ce que vous fassiez ceci et cela, à un certain temps et d’une certaine manière. Mais êtes-vous le seul dans cette situation? Bien sûr que non ! Votre collègue de travail aussi possède des responsabilités et se fait juger par des supérieurs. Puisque, à l’intérieur de l’entreprise, vous êtes nombreux à jouer des rôles, il peut être normal que vous vous marchiez sur les pieds. Celui qui veut bien faire son travail (parce qu’il veut une promotion ou pour toutes autres raisons), voudra maximiser sa productivité en développant des techniques qui amélioreront son efficacité générale. Cela peut aussi être le cas pour un autre collègue de travail, qui voudra aussi maximiser son efficacité, et ainsi le jugement de ses supérieurs concernant son travail. Lorsque le travail de l’un est lié au travail de l’autre (cela est souvent le cas en entreprise, puisque chaque rôle est lié à l’autre à l’intérieur même de la logique de production) et que chaque employé tente de faire de son mieux, voici ce qui se produit : la maximisation du travail de l’un vient empiéter sur la possibilité de maximisation du travail de l’autre, et ce parce que chaque rôle est lié à l’autre par différentes contraintes (l’espace disponible pour effectuer le travail et les ressources disponibles pour effectuer le travail sont des exemples de ces contraintes). Ainsi, n’est-il pas normal de se chicaner au boulot si le simple fait de bien vouloir faire son travail équivaut souvent à empêcher l’autre de faire le sien? Il semble que la logique même de l’entreprise, qui est basée sur le travail d’équipe et la liaison des efforts, se trouve affectée négativement par le fait que chacun pense davantage à remplir son rôle et ses obligations que de maximiser la logique de l’entreprise. Est-ce de l’égoïsme? Non, ce ne l’est pas. C’est simplement que le principe de la rémunération personnelle et de la division des tâches vient séparer chaque travail face à l’autre virtuellement, mais sans les séparer de manière concrète dans la réalisation des tâches. Pour ces raisons, nous voulons tous bien paraître en effectuant parfaitement nos tâches, mais nous ne prenons pas en compte que ces tâches ne sont qu’une partie d’un tout plus représntatif des intérêts de la compagnie. C’est la logique même de l’entreprise qui emmène ses travailleurs à travailler pour leur propre image et pour leur évaluation face à leurs supérieurs plutôt que pour l’ensemble de la productivité de la compagnie. Dans ce cas, ne vous en faites pas si vous vous demandez pourquoi est-ce qu’il est aussi difficile de bien s’entendre avec ses collègues de travail : c’est la structure même du capitalisme et de l’entreprise qui vous force à vous chicaner avec votre entourage au travail.